Articles de barbara-charpagne

  • Nutriments pour le soutien du système immunitaire

     

     

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    Au vu de la situation actuelle et de cette nouvelle vague du Covid, il est important de renforcer d’avantage le système immunitaire. Le SYSTÈME IMMUNITAIRE est un système de défense hypersophistiqué qui permet de nous protéger de la multitude de microorganismes qui tentent de pénétrer dans notre organisme. Un certain nombre de nutriments sont indispensables à une réponse immunitaire adaptée. Vous retrouvez ci-dessous différents nutriments indispensables pour un bon fonctionnement du système immunitaire. 

    1. La L-Glutamine :

    La L-Glutamine est un nutriment particulièrement important pour les cellules devant se diviser rapidement et constitue dès lors la source énergétique principale des lymphocytes lors de la réponse immunitaire.

    2. β-Glucanes :

    Les propriétés immunostimulantes du bêta-(1,3/1,6)-glucane, extrait de levure (Saccharomyces cerevisiae) ont fait l'objet de nombreuses publications. 

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    En se liant à son récepteur, le bêta-glucane active les macrophages et, à travers eux, toute la cascade immunitaire incluant : 

    l’activation de la phagocytosedes micro-organismes pathogènes responsables du développement des infections.

    - une augmentation de la production des cellules NK

    - l’activation des lymphocytes T et B

    LE BÊTA-GLUCANE AUGMENTE AINSI LA CAPACITÉ ET LA RAPIDITÉ DES CELLULES IMMUNITAIRES Á DÉTRUIRE LES INTRUS.

    3. La Vitamine C : 

    La vitamine C restaure les mécanismes des défenses immunitaires et module favorablement les processus cellulaires pathologiques induits par les virus.

    4. La Vitamine D : 

    La vitamine D joue un rôle majeur dans le soutien des fonctions immunitaires. Si une carence en vitamine D est clairement associée à une augmentation de la sensibilité aux infections, de nombreuses études ont également montré qu’une supplémentation en vitamine D améliore la défense contre les infections, notamment contre les infections respiratoires et les Coronavirus(COVID-19).

    5. Le Zinc : 

    Le Zinc est depuis longtemps considéré comme un nutriment indispensable à la croissance, au développement et au maintien du fonctionnement du système immunitaire. 

    Des études récentes ont montré que le zinc stimule non seulement l’immunité antivirale mais qu’il exerce également une action antivirale directe: inactivation du virus libre (1), inhibition du déshabillage viral (2) de la transcription du génome viral (3), et de la traduction et la transformation des protéines virales (4). 

     

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    6. Le Sélénium : 

    Le sélénium est un micronutriment qui joue un rôle important dans de nombreux mécanismes physiologiques notamment dans le fonctionnement à la fois de l’immunité innée et adaptative.

    7. La Quercétine : 

    La quercétine participe au soutien de la barrière intestinale au niveau des complexes jonctionnels serrés de l’épithélium intestinal, première ligne de défense du système immunitaire. Elle intervient dans la réponse immunitaire et anti-inflammatoire, elle a également un effet antiviral, par différents mécanismes : prévention de l’entrée du virus dans la cellule, inhibition de la réplication virale, et dans le cas du coronavirus, par inhibition d’une enzyme essentielle à la réplication du virus (MPro).

    8. Les EGCG de Thé vert : 

    L’épigallocatéchine gallate de thé vert a également démontré des propriétés similaires à la quercétine : antiviral, immunomodulatrice et anti inflammatoire.

    9. La NAC (N-Acétyl-Cystéine) :

    La NACest le précurseur du Glutathion, l’un des antioxydants les plus puissants. Outre son rôle en tant qu’antioxydant, il existe de nombreuses études sur le rôle du GSH dans l’immunité et sur son importance dans la réponse aux infections.

    Je reste à votre disposition pour toutes les questions que vous souhaiteriez me poser

    sur ce sujet lors de votre "Bilan Energétique". 

     

     

     

  • Lorsque le microbiote dysfonctionne...

     

    Alimentation et hygiène au quotidien 

    L'importance d'une bonne immunité n'a jamais été autant d'actualité... et c'est le microbiote qui en est l'axe principal. Toutes les recommandations d'hygiène de vie telles que se laver les mains régulièrement, utiliser du gel hydroalcoolique, porter un masque... sont importantes mais ne suffisent pas.

     

    Maux de ventre constipation flatulences

     

    Le corps humain est équipé d'un ensemble de défenses immunitaires à travers ses différents microbiotes (buccal, cutané, urogénital...). Mais le plus important est celui des intestins, il représente 80% de notre système immunitaire! Chaque être humain possède un microbiote unique constitué de bactéries, levures, champignons et virus qui vivent en symbiose lorsque l'équilibre est maintenu...

    Lorsque l'équilibre du microbiote est rompu, la dysbiose apparaît, caractérisée par une porosité intestinale et/ou une fermentation excessive (au niveau de l'estomac, de l'intestin grêle ou du côlon) et/ou une putréfaction intestinale.

    Plusieurs facteurs, seuls ou combinés, notamment le stress, la peur, les émotions ou idées négatives, le gluten, le lait de vache, les mauvaises associations alimentaires, les excès de sucre, les excès alimentaires, la prise d'aliments cuits, transformés, industriels, sont à l'origine d'une dysbiose intestinale.

    Les symptômes caractéristiques d'une dysbiose sont souvent synonymes d'une haleine putride, de ballonnements, de crampes abdominales, de selles non moulées, de perte de poids ou, au contraire, d'une accumulation de graisse viscérale et abdominale.

    S'il s'agit d'une porosité, cela va impacter le système immunitaire (car la paroi intestinale sera altérée) et indirectement le système nerveux (agitations, anxiétés, peurs, angoisses, excès de stress, défauts de mémoire...). Une porosité s'accompagne toujours de fatigue digestive à la fin d'un repas, parfois de ballonnements, maux de ventre, troubles du transit, selles non moulées, carences, anémie, troubles du sommeil, fatigue anormale.

    Une fermentation intestinale se caractérise par un reflux acide ou gastro-oesophagien, un terrain propice aux Candida albicans, de la fatigue, une envie de manger des aliments à base de farine toutes les 2 ou 3 heures, des infections fréquentes, des carences, une anémie, une défaillance du système immunitaire, des ballonnements, de la constipation souvent liée à des périodes dépressives, des gaz non odorants.

    Une putréfaction excessive se caractérise toujours par des gaz malodorants. 

     

    Intérêts des Métabolites Organiques Urinaires : 

    La réalisation d’analyses de selles par culture ne permet souvent qu’une vue limitée de la flore intestinale. Elle n’est pas toujours suffisamment sensible pour permettre de mettre en évidence une dysbiose bactérienne et/ou fongique. 

    Une alternative astucieuse consiste à repérer la présence de micro-organismes en quantité anormale (dysbiose bactérienne et/ou fongique) par l’identification de leurs métabolites dans les urines. L’idée consiste donc à repérer certaines molécules issues du métabolisme fongique ou du métabolisme bactérien.
    Ces métabolites sont évacués par les micro-organismes dans la lumière intestinale, où ils font l’objet d’une absorption par la muqueuse de l’intestin grêle. S’agissant de molécules peu réactives, en principe non modifiées par les enzymes humaines, elles sont excrétées par voie urinaire.

    Ce profil urinaire d’une dizaine de paramètres (dont les concentrations sont rapportées à la teneur en créatinine) est indiqué en cas d’INFECTION FROIDE, avec troubles digestifs (mais aussi cutanés et généraux) consécutifs à une dysbiose intestinale rebelle (et en particulier lorsque les coprocultures sont négatives). Il est surtout orienté vers la recherche d’une infection fongique, bactérienne ou parasitaire chronique.

     

    Symptômes communs aux dysbioses (à prendre en compte si au moins une fois par semaine, depuis 6 mois), les symptômes sont classés par pôle organique :

    -Estomac-Rate: Brûlures d’estomac / Herpès (buccal, cutané ou génital) / Hypersensibilité aux remèdes, produits ménagers …

    -Colon-Peau: Peau sèche, rougeurs et prurit, eczéma / Selles ou gaz nauséabonds. Constipation ou diarrhée

    Infections ORL fréquentes / Fatigue (physique et psychique) / Sueurs nocturnes.

    -Rein-Surrénales: Chute des cheveux / Acouphènes intermittents / Dépression, baisse de la libido / Pollakiurie, infections urinaires à répétition.

    -Foie-VB:Douleur dans la région du foie / Ongles fragiles.

    -Cœur: Palpitations, épisodes de tachycardie / Maux de tête, insomnie.

     

     Symptômes plus particulièrement mycosiques (candida) :

    -Estomac-Rate: Attirance pour le sucre, prise de poids / Rougeurs, fissures de la commissure des lèvres.

    Douleurs d’estomac, résistants aux anti-acides / Douleurs fugaces des oreilles, des dents ou mâchoire.

    -Colon-Peau: Démangeaison des aisselles, de l’anus / Ecoulement nasal fréquent ou nez bouché. Spasmes intestinaux parfois violents.

    -Rein-Surrénales: Urines d’odeur forte, parfois moussantes ou filaments.

    -Foie-VB: Irritation oculaire : Yeux secs, paupières inflammatoires. Humeur changeante, excitation (enfant).

     

    Symptômes plus particulièrement bactériens (Clostridium) :

    -Estomac-Rate: Poids insuffisant. Intolérance à l’alcool / Aggravation ou amélioration suite d’antibiotiques.

    Brouillard intellectuel, troubles de mémoire, cherche ses mots / Maladresse, gestes imprécis, chute d’objets.

    Ecchymoses, bleus spontanés / Tremblements musculaires fins (paupières ou autre).

    -Colon-Peau: Fourmillements des extrémités, brûlures sous la peau / Jambes lourdes ou gonflées le soir.

    Besoin d’inspirer profondément, essoufflement à l’effort.

    -Rein-Surrénales: Instabilité, sensation d’être ivre / Hypersensibilité au bruit.

    -Foie-VB: Douleurs musculaires ou péri-articulaires migrantes, tendinites / Crampes nocturnes ou de repos, jambes sans repos.

    Flou visuel, ombres ou taches lumineuses / Hypersensibilité à la lumière.

    -Cœur: Angoisses injustifiées, humeur fluctuante / Endormissement irrépressible avec sursauts, hypersomnie.

     

    Les troubles digestifs constatés peuvent être consécutifs à :

    –Une alimentation déséquilibrée : trop riche en sucres, conserves, carnée ou au contraire végétalienne !

    –Un déficit enzymatique (génétique ou post médicamenteux) ou micronutritionnel (vitamines, oligo-éléments).

    –Une inflammation chronique du grêle (intolérances alimentaires ?) ou une modification durable du pH qui favorisent l’apparition de micro-organismes pathogènes. 

     

    Si durant notre rendez-vous je suspecte un déséquilibre du microbiote de la flore bactérienne et fongique, je peux vous proposer de réaliser un MOU (recherche des Métabolites Organiques Urinaires), un bilan permettant de mettre en évidence une dysbiose bactérienne et/ou fongique.

    Indications les plus courantes:

    Troubles digestifs chroniques (alternance diarrhée/constipation, transit alterne, flatulences, côlon irritable, douleurs digestives, inconfort digestif, lourdeurs digestives, digestions difficiles, pathologies digestives chroniques et/ou inflammatoires- M. coeliaque, RCH, Crohn), météorisme abdominal post-prandial, fringale de milieu de matinée, sensation d’être rassasier après les premières bouchées, prurit anal, déficit en Magnésium par déficit d’absorption intestinale, aigreur, pyrosis, gastralgies, ballonnement, gaz mal odorants, troubles des phanères, fatigue chronique, douleurs fribromyalgiques, résistances à l’amaigrissement...

     

    Points forts du MOU: 

    Outil pratique et didactique.

    Visualisation de l’intensité de la dysbiose bactérienne et/ou fongique, impact sur le métabolisme glucidique et protéique, mise en évidence d’une candidose digestive.

     

     

    Adieu les maux de ventre

     

     

  • Immunité

     

    En 5 points

    Je booste mon immunité

     

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    L'idée d'un virus dans l'automne ou dans l'hiver nous traverse tous... Pour bien me caler dans ma tête, je fais tout ce qu'il faut pour stimuler mon immunité. Ce sera déjà ça de pris.

     

    1. Je parle à ma peur

    C'est la première étape pour stimuler mon système immunitaire. Lui éviter le stress qui, en mobilisant une partie de mes ressources, affaiblit mes défenses. On ne peut pas être sur tous les fronts... Une production continue de cortisol, une des hormones du stress, par exemple, empêche l'immunité de fonctionner à plein régime. Ce n'est que lorsque le cortisol se décide à baisser la garde, que les défenses naturelles peuvent barrer la route aux virus, bactéries, et autres agents infectieux. Donc, je fais tout pour calmer le stress qui pointe le bout du nez au-delà de mon inconscient en s'exprimant par une vague inquiétude persistante, une tendance à ne pas quitter des yeux la progression de la Covid 19 et autres attitudes qui témoignent d'un stress latent... Tranquillement, je parle à ma peur, je lui accorde le droit de s'exprimer, je l'écoute, je l'apaise en lui apportant des réponses dans la réalité : la régularité dans la méditation, et les remèdes naturels préventifs. 

     

    2. Je dis "Ail" 

    S'il est un remède naturel prioritaire pour renforcer son immunité, c'est bien l'ail, végétal tonifiant et alcalinisant. Inutile de préparer des arguments du type : "je ne le digère pas" ou "il donne mauvaise haleine", l'ail n'a jamais fait de mal à personne (sauf pour certaines personnes sous traitement car l'ail est un puissant fluidifiant sanguin) et il ne promet pas une rupture amoureuse instantanée s'il est consommé comme il se doit : en vinaigre à boire tous les matins, dilué dans de l'eau. On n'est pas obligé d'aller embrasser son amoureux ou son amoureuse sur-le-champ : quelques instants de distanciation et la présence olfactive de l'ail se sera envolée ;-)

    A la maison, j'ai donc décidé de préparer mon vinaigre d'ail selon la recette traditionnelle. Rien de plus simple, et j'en prends chaque jour 1 cuillerée à café. L'effet de ce remède de grand-mère est impressionnant : je me sens plus forte, plus énergique, et je constate rapidement que mon immunité est consolidée.

    La recette du vinaigre d'ail : dans un pot de type Masson de 500ml avec un couvercle en plastique, car le métal rouillerait pendant la macération de l'ail, couper 200 g d'ail biologique frais en tout petits morceaux ou le hacher. Verser par dessus 300 ml de vinaigre de cidre de pommes Bio non pasteurisé jusqu'à bien recouvrir l'ail. Laisser macérer à l'abri de la lumière. Ne pas oublier de le brasser régulièrement. Trois semaines plus tard, filter la macération et verser le vinaigre d'ail dans une bouteille opaque. Le consommer tout au long de la saison froide. 

     

    3. Je combats l'acidité

    Grâce à Peter Jentschura, spécialiste de l'équilibre acido-basique, nous pouvons comprendre que cette notion est indispensable à une bonne santé durable et à un moral stable. En raison de notre mode de vie stressant, de la pollution, nous sommes tous plus ou moins débordés par les acides dans notre organisme, et rééquilibrer régulièrement nos bases remet, en quelque sorte, les pendules à l'heure. Pour cela, il faut conduire les acides vers la sortie en drainant l'organisme avec des remèdes naturels alcalinisants, et le régénérer en lui redonnant des réserves qui font pencher la balance du côté des bases. Nous en aurons besoin lorsque la bise sera venue. Le système immunitaire sort toujours renforcé d'une petite cure alcaline et la vitalité aussi.

    Immunité : les conseils de Peter Jentschura 

    "L'équilibre acido-basique est essentiel à notre système immunitaire. En matière d'immunité, la meilleure option est la prophylaxie et la base de la prophylaxie est une alimentation saine, omnimoléculaire. Cette méthode est non seulement simple et efficace, mais aussi peu coûteuse, et elle conduit au renforcement de la résistance de chacun. L'organisme est en mesure de lutter contre une infection lorsqu'un taux pH alcalin du liquide cellulaire, de la lymphe et du sang est à même de ralentir la fusion entre la membrane virale et la membrane de la cellule-hôte qui se trouve alors protégée. De cette façon, l'infection et la reproduction virales sont inhibés. Dans ce sens, il faudrait se nourrir principalement d'aliments alcalinisants et excédentaires en bases : des légumes de saison, des graines, des céréales... Dans la mesure où les acides affectent aussi considérablement notre psychisme, surtout lorsque la saison hivernale commence, l'automne est une bonne période pour préserver son équilibre ou le retrouver rapidement". 

     

    4. Je pratique le bain dérivatif

    C'est un classique des soins préventifs naturopathiques. Simple, puisqu'il suffit d'un filet d'eau froide pour la pratiquer. Le principe? Dans un bidet ou dans une cuvette, on fait couler de l'eau froide, on s'assoit au-dessus et, avec une lingette, on exerce une friction douce de l'aine vers le périnée, de chaque côté, pendant une dizaine de minutes. Important : se couvrir suffisamment pour ne pas avoir froid; il est même essentiel de se sentir bien au chaud. Le naturopathe allemand Louis Kuhne avait décrit ce bain au XIXe siècle, mais c'est la navigatrice France Guillain qui l'a remise au goût du jour dans son livre Le bain dérivatif ou D-Coolin Way (Editions du Rocher). Faute de bidet, ou d'envie d'appliquer sa méthode à la lettre, elle propose des poches de gel "Yokool", à base de cellulose, à placer au congélateur avant de s'en servir. Afin de renforcer l'immunité, ces poches de gel recouvertes de tissu représentent une solution idéale pour toutes les femmes comme pour les hommes. Le système lymphatique et la circulation sanguine sont stimulés, et l'action anti-inflammatoire se ressent nettement. La température intérieure baisse doucement : avec le bain dérivatif vous serez plus zen, plus tonique, vous dormirez mieux... et votre silhouette s'affinera à vue d'oeil car les déchets métaboliques s'éliminent plus facilement. Alors, prêts à résister à fond aux virus?

     

    5. Je respire des huiles essentielles

    Mieux vaut prévenir que guérir. Si vous appliquez cette règle en toutes saisons, c'est particulièrement en automne que vous devriez vérifier vos réserves d'huiles essentielles Bio favorables à une bonne immunité. Je précise cependant qu'il est inutile d'accumuler des dizaines d'huiles et de les utiliser à tout va, sans discernement. Plus qu'inutile, cela peut s'avérer dangereux. Quelques huiles essentielles à diffuser, à inhaler ou à mélanger à une huile de base Bio pour des massages et des bains revitalisants en cas de baisse de régime : voilà la bonne solution. Vous choisissez celles qui conviennent le mieux à votre humeur du jour car il arrive que le parfum de l'une de vos H.E familières ne vous plaise pas, à un moment donné. Dans ces cas-là, vous n'insistez pas et vous en choisissez une autre. La palette antibactérienne et antivirale est large : myrrhe, thym, gingembre, ravintsare, eucalyptus, niaouli... Certaines entrent plus aisément en résonnance avec les voies respiratoires supérieures, d'autres les voies inférieures, mais les unes et les autres doivent être dosées très soigneusement, plutôt à la baisse qu'à la hausse par rapport aux préconisations des guides pratiques, et les huiles végétales de base (amande douce, jojoba, calendula...) se trouver à portée de main pour les préparations en contact direct avec la peau. Toujours. Femmes enceintes et enfants en bas âge, s'abstenir, c'est plus prudent, il faut demander l'avis de votre naturopathe.