Entretenir sa mémoire

Prendre soin de son cerveau c'est nécessaire!

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Concentration, motivation, la mémoire sollicite de nombreuses activités cérébrales et mobilise des ressources attentionnelles. 

Ces ressources demandent plus d'efforts avec l'âge.

Entre petits oublis qui perturbent notre vie quotidienne par manque d'attention, on cherche ses clés, ses lunettes, le prénom d'un chanteur....et le déclin des capacités cognitives, le pas est grand.

 

Il est de toutes les façons utile de toujours stimuler son cerveau le plus possible!

Car la mémoire est comme un muscle qui se travaille et s'entretient. Plus on la sollicitera, plus elle sera forte. De la même façon, elle se détériore si on ne l'active pas.

 

La Naturopathie est particulièrement attentive à l'étude des fonctions cognitives.

Je vous propose des micronutriments qui possèdent des propriétés intéressantes, et qui sont une source d'énergie rapidement disponible pour l'organisme, le cerveau et le système nerveux.

Des soins en Réflexologie Plantaire qui contribuent au bon fonctionnement du système nerveux, au métabolisme énergétique normal et à des fonctions psychologiques normales.

 

Le protocole à prévoir est d'environ trois mois; je suis à votre disposition pour vous donner plus d'information.

 

 

 

 

"Dopamine - Noradrénaline - Sérotonine sont les principaux messagers de notre cerveau. Ils participent à de nombreuses fonctions et prédominent dans des aires spécialisées du cerveau. Ces molécules proviennent de constituants de notre assiette, qu'on nomme des "précurseurs". Ceux qui se transforment en dopamine, noradrénaline ou sérotonine appartiennent à la famille des acides aminés essentiels. Il s'agit donc de constituants que nos tissus ne peuvent pas fabriquer, ce qui nous rend exclusivement dépendants de nos apports et de notre assimilation pour élaborer ces messagers à un taux optimal.

En fait, le maintien de la "densité d'information" requiert qu'un nombre suffisant de clefs soit fabriqué pour qu'elles puissent ouvrir toutes les serrures (autrement dit, pour que le messager puisse se lier au récepteur). Il convient aussi que la qualité des membranes soit satisfaisante, ce qui implique que les différentes familles de graisses constitutives soient représentées à un niveau correct. On peut les comparer à l'huile qu'on glisse de temps en temps dans la serrure.

D'autres points sont importants. La protection de ces stuctures doit être assurée à un niveau suffisant. On pense notamment au risque que constitue à leur égard le stress oxydatif, la "rouille" des tissus, qui peut occasionner une atteinte et une destruction des membranes et des récepteurs. Tout se passera alors comme si on avait changé les serrures en votre absence.

Enfin, certaines toxines, souvent en provenance de l'intestin, peuvent interagir avec ces récepteurs et fausser la nature du message transmis, comme un chewing-gum sec, glissé dans l'orifice d'une serrure, qui empêcherait d'y glisser la clef. 

Notre alimentation détermine fortement le bon déroulement de ces voies chimiques. Au-delà de notre dépendance vis-à-vis des apports en acides gras, ou en éléments protecteurs, dont nous sommes pourvus par notre ration, nous devons aussi tirer de notre assiette les "précurseurs" de la dopamine, de la noradrénaline, de la sérotonine, ainsi que de l'ensemble des messagers qui assaillent nos récepteurs..." *

*Denis Riché titulaire d'un doctorat de nutrition humaine. Fondateur de la micronutrition; enseignant à la faculté de Poitiers, ainsi qu'à la faculté de Pharmacie de Dijon.

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