Les Allergies Respiratoires

  • Les FLeurs

    Les Fleurs

    Bush australien

    Nombreux sont ceux qui font entrer les fleurs de Bach, et du Bush Australien, dans la grande famille des médecines douces. Nombreux aussi, donc, sont ceux qui assimilent la fleur à un remède, n'hésitant d'ailleurs pas à chercher ou choisir cette fleur par rapport à tel ou tel symptôme physique.

    Même si la traduction littérale peut amener à penser le contraire ("Bach flower remedies"), la fleur n'est pas un remède, du moins pas en tant que tel.

    La fleur, quand on l'absorbe sous forme d'élixir, véhicule une énergie haute, très élevée, qui nous permet une ouverture intérieure. Cette ouverture de nos "fenêtres" intérieures nous amène ainsi à discerner de nouveaux "paysages". 

    Prenons l'exemple de la peur: cette peur est en moi, pesante, obsédante parfois, au point d'occuper tout mon univers intérieur.

    La fleur (Dog Rose, Bush Iris ou Grey Spider FLower par exemple), va m'ouvrir un nouveau champ de vision, elle me permettra de discerner d'autres "paysages" tels que la foi, le courage, le dépassement... toutes ces qualités que j'avais oubliées et qui pourtant étaient bien en moi.

    Car la fleur n'apporte rien. Du moins rien qu'on ait déjà. Elle nous permet simplement d'entrer en contact avec les aspects positifs que l'on a en nous-mêmes, de prendre conscience de nos ressources et des potentiels d'évolution qui sont en nous et qui n'attendent qu'à être développés.

    La fleur n'est donc pas thérapeutique. Ce qui l'est c'est la modification de conscience, le passage à l'acte qui en découle et qui, en développant le côté positif révélé par l'énergie de la fleur, va nous amener à un rééquilibrage intérieur.

    Mais nous gardons le choix. Le choix d'accepter l'évolution ou de refuser le changement. Les fleurs sont aussi une école de responsabilité, de responsabilisation personnelle ce qui, au passage, ôte ainsi aux fleurs tout aspect de "magie".

    On devrait aussi leur ôter ce côté "médecine de l'âme" trop souvent galvaudé. Bach n'a jamais parlé de cela, il n'a évoqué que les conflits "âme-esprit" (responsables selon lui de nos malheurs et maladies) et susceptibles d'être réglés avec les fleurs.

    Pour Ian White (le créateur des fleurs du Bush Australien), l'âme est sacrée puisque d'essence divine. Si la fleur agissait sur l'âme, il y aurait alors possibilité de manipulation, de violation de notre moi profond, avec tous les risques de déviation que cela comporterait.

    La fleur n'agit que sur la relation erronée que nous avons (notre mental) avec notre moi (l'âme), ce qui est fondamentalement différent d'une action directe sur l'âme.

    C'est donc la personne elle-même qui guérit ("guéris-toi toi même" disait Bach) en acceptant de modifier ses schémas intérieurs. Ce n'est donc pas nous, médecins ou thérapeutes, accompagnants, amis ou proches, qui guérissons l'autre.

    Les seules qualités nécessaires pour aider avec les fleurs sont l'amour, la disponibilité, le désir ardent de soulager... et cela ne s'apprend pas, cela se vit de l'intérieur...

    Cette méthode de guérison via les fleurs est un merveilleux outil, un "moyen d'évolution thérapeutique" extraordinaire, j'en suis convaincue !  

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    Les hommes recommencent à percevoir l'essence du divin dans la nature. La redécouverte de la contemplation, le retour à la révélation et à l'expérience intérieure de l'Eternel et de l'Infini correspondent à la libération de la véritable nature humaine.

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  • Introduction

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    Chez tous les peuples, les guérisseurs connaissaient les forces inépuisables de la nature et savaient les utiliser. Avec ses trente-huit élixirs floraux, le Dr Bach a renoué avec cet ancien savoir presque oublié. 

    En étudiant soigneusement les écrits du Dr Samuel Hahnemann, il en vint à penser que la maladie n'était pas d'origine matérielle. De même, il ne s'agissait pas de traiter la maladie, mais plutôt d'aider la personne à retrouver la santé. Pour lui, la maladie du corps résultait d'un état d'esprit particulier. 

    Par l'industrialisation croissante et le développement technique, les états d'âme des êtres humains se modifient, et par là même les symptômes des maladies. 

    Comme les vrais remèdes pour l'esprit humain ne se trouvent pas dans les médicaments, mais dans une nature intacte, l'objectif était alors, après les travaux pionniers du Dr  Bach, de continuer les recherches et la préparation de nouveaux élixirs dans le monde entier. Grâce à leurs hautes vibrations, les fleurs sauvages, les plantes ou les arbres ont la capacité d'élever celles des êtres humains. Ils n'agissent pas directement sur les disharmonies et les maladies qui en découlent, mais ils irriguent nos corps de belles vibrations. C'est la nature elle-même qui guérit. Plus le lien harmonieux avec la nature disparaît, plus nos vies et notre âme perdent leur équilibre.

    Ce n'est que par l'amour de la nature qu'il nous est possible de fabriquer des élixirs d'énergie.

    L'élixir agit, comme nous l'avons dit, d'une façon très subtile, c'est-à-dire sur le plan vibratoire. Chaque objet, chaque corps est, dans sa plus petite dimension, en mouvement: il vibre. De la même façon, la fleur est composée de vibrations invisibles. Le nombre de vibrations par seconde est exprimé en fréquences. La structure de chaque fréquence peut être modifiée par des informations complémentaires et ainsi apparaître sous une autre forme. Les ondes radio fonctionnent sur ce principe, elles sont "informées" tantôt par la musique, tantôt par la parole. Les élixirs agissent de la même façon. L'élixir choisi en fonction d'un problème particulier rencontre la fréquence de la personne avec l'information de la fleur et apporte une action équilibrante sur ce plan. 

    Les élixirs remplissent en quelque sorte les "trous" dans la fréquence de la personne. Les structures énergétiques endommagées retrouvent leur harmonie et vibrent sainement à nouveau. 

    A partir de ce moment, l'impulsion énergétique de guérison peut également se manifester positivement au niveau physique.

    Elisabeth Ruhm (Département de recherche de l'Académie des fleurs/International Flower Academy)

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  • Ménopause: les conséquences

    Aujourd'hui en France, 10 millions de femmes sont ménopausées et de 300 000 à 500 000 femmes entrent en ménopause chaque année...

    Mariana palova

    Qu'est-ce que la ménopause?

    La ménopause est un stade physiologique normal caractérisé par une diminution de la sécrétion en oestrogènes et en progestérone consécutive à l'arrêt progressif du fonctionnement des ovaires. On considère qu'une femme est ménopausée lorsque les menstruations ont disparu depuis au moins 12 mois. La date de la ménopause correspond à celles des dernières règles.

    Comment se manifeste-t-elle?

    Les manifestations sont très variables d'une femme à une autre, dans leur fréquence, intensité, moment d'apparition et durée.

    Conséquences à court terme:

    Une femme sur deux voit sa qualité de vie perturbée par: des bouffées de chaleur, des troubles de l'humeur et du sommeil, une sécheresse cutanée et vaginale parfois responsables de vaginites, douleurs vaginales, cystites, rapports douloureux, des troubles de la libido et la perte du désir, une redistribution de la masse grasse au niveau abdominal avec ou sans prise de poids.

    Conséquences à moyen terme:

    Elles prédominent au niveau des organes cibles des oestrogènes.

    - L'atrophie de la vulve et du vagin survient plus ou moins rapidement après la ménopause. La flore de protection vaginale diminue également, entraînant une sensibilité plus grande de l'épithélium (aminci) aux infections (par exemple, vaginite).

    - L'appareil génital tend à s'atrophier et selon les cas, les femmes ménopausées peuvent développer une pilosité excessive.

    - La peau devient plus fine en raison, là aussi, de la carence oestrogénique et l'index de masse corporelle tend à augmenter après 50 ans.

    Conséquences à long terme:

    Un des risques majeurs de la ménopause est l'ostéoporose post-ménopausique. Si la perte de masse osseuse, terrain de l'ostéoporose, est un phénomène physiologique lié au vieillissement, elle s'accélère considérablement à la ménopause et constitue un réel problème de santé publique. Elle se manifeste 7 à 10 ans après l'arrêt des règles et concerne une femme sur quatre, soit près de 2.5 millions de femmes.

    Athérosclérose coronarienne. Avant la ménopause, les maladies coronariennes sont beaucoup plus fréquentes chez l'homme que chez la femme. Après la ménopause, progressivement la fréquence des coronaropathies féminines va rejoindre celles des hommes. Le rôle respectif de l'âge et de la carence oestrogénique est controversé.

    Comment y remédier? 

    La micronutrition apporte une réel solution dans la prévention des maladies cardiovasculaires, en particulier sur l'amélioration des profils lipidiques et sur la qualité de vie (comme les troubles de l'humeur , la sécheresse cutanée et vaginale). 

    Les résultats en phytothérapie montrent une amélioration des troubles du climatère (bouffées de chaleur, sueurs nocturnes...).

    La Naturopathie apporte une solution à l'ostéoporose afin de limiter le risque de fracture.

    Pour une solution adaptée en micronutrition et phytothérapie, n'hésitez pas à me contacter. Parallèlement, la réflexologie plantaire est particulièrement intéressante chez la femme ménopausée sujette aux bouffées de chaleur et aux troubles de l'humeur.

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  • Impact des allergies respiratoires insuffisamment soignées

     

    Pissenlits

     

    Les troubles allergiques constituent un grave problème de santé publique, comme documenté par l'OMS et d'autres organismes de premier plan tels que la Fédération européenne des associations d'allergiques et de malades respiratoires (EFA). Les maladies allergiques sont en effet très prévalentes, particulièrement dans les pays développés où leur incidence approche les 30%. A ce titre, les maladies allergiques sont classées par l'OMS au 4ème rang mondial des pathologies chroniques les plus fréquentes.

    Les réponses allergiques peuvent se produire dans la plupart des sites où les surfaces épithéliales sont en contact avec l'environnement. Les réponses aux allergènes respiratoires présents dans l'air provoquent notamment la rhinite allergique dans les voies nasales et l'asthme dans les poumons. Leurs conséquences sur la qualité de vie et les activités des patients sont importantes et leur retentissement sur le plan économique est lui aussi conséquent. Une meilleure connaissance des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la rhinite allergique et l'asthme permet aujourd'hui de mieux aborder les stratégies préventives et thérapeutiques de ces pathologies en forte progression.

    Les allergies, en particulier respiratoires, sont de plus en plus fréquentes. Elles sont certes liées à des facteurs génétiques mais également environnementaux et à notre mode de vie. A ce titre, elles peuvent être considérées comme une maladie de civilisation. Certaines personnes sont en effet plus susceptibles de produire des anticorps IgE dirigés contre les allergènes du fait d'un terrain familial. On parle alors de patient atopique. Mais plusieurs facteurs environnementaux contribuent aussi au développement d'allergies spécifiques: les allergies au pollen de bouleau, très abondant au printemps, sont beaucoup plus fréquentes chez les bébés nés à la fin de l'hiver ou au début du printemps que chez ceux nés à un autre moment de l'année. En Europe, la concentration en acariens est inversement proportionnelle à l'altitude. L'environnement intérieur est un facteur important d'exposition aux allergènes chez le jeune enfant notamment qui passe l'essentiel de son temps à la maison. Enfin, la pollution atmosphérique et ses différents composants, les oxydes d'azote, l'ozone, le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone et les composés organiques volatils sont considérés comme étant des facteurs de risque d'apparition et d'exacerbation des allergies respiratoires. Les études épidémiologiques conduites dans différents pays ont démontré une forte association entre le niveau des émissions liées au trafic des véhicules à moteur (surtout les effets spécifiques des particules diesel) et l'augmentation des symptômes d'asthme ou de rhinite allergique. 

    Ces dernières années, un nouveau paradigme impliquant l'écosystème intestinal s'est fait jour dans le champ de la recherche étiologique sur les allergies. Une vingtaine d'études épidémiologiques ont notamment mis en évidence une relation entre les maladies allergiques et le microbiote intestinal. Enfin, d'autres facteurs de risques déclenchant ou aggravant ont été proposés tels que la surcharge pondérale, le tabagisme passif, certains facteurs hormonaux et obstétricaux et plusieurs médicaments. Le rôle protecteur possible de la vie au contact des animaux de la ferme (souvent qualifié d'"hypothèse hygiéniste") ou encore de l'allaitement maternel est également décrit dans plusieurs études...

    Souvent sous-estimés ou mal identifiées, les allergies respiratoires font trop fréquemment l'objet d'une prise en charge insuffisante, inadaptée ou tardive. Chez les patients souffrant de rhinite allergique, il s'écoule en moyenne 5 ans avant qu'une solution adaptée à leur maladie soit proposée. Les traitements symptomatiques proposés sont généralement efficaces mais leur effet cesse dès l'arrêt de la prise car ils ne s'attaquent ni à la cause, ni à la chronicité de la maladie allergique. 

    Plusieurs études récentes ont mis en évidence l'intérêt d'une complémentation naturelle dans la prise en charge des allergies respiratoires. Dans ce domaine les résultats les plus prometteurs concernent un petit groupe de nutriments. 

    l'immunothérapie spécifique, seul traitement susceptible de modifier le cours naturel de la maladie allergique, semble aujourd'hui encore réservée à une faible catégorie de la population. Dans ce contexte, l'utilisation de nutriments et micronutriments documentés ayant à la fois une action sur les symptômes et les mécanismes physiopathologiques constitue une approche aux besoins insatisfaits des patients et à limiter la dégradation de leur qualité de vie. 

    Pour plus de renseignements dans la prise en charge des maladies allergiques et respiratoires, n'hésitez pas à contacter votre Naturopathe.

     

  • Ondes Sonores

     

    On peut comparer le Corps à un Orchestre Symphonique

     

    Le chef d'orchestre représente les émotions directement liées à l'énergie. Les instruments sont représentés par les glandes endocrines et les organes. Les musiciens représentent le savoir et la force, ils sont représentés par le sang. Si le chef n'est pas en harmonie avec la partition, on entendra une cacophonie. Si les musiciens n'ont pas le savoir ni la force pour interpréter les notes, on assistera à un brouhaha musical. Tous dépendent les uns des autres; tous dépendent de la qualité des instruments; si vous avez un orchestre de cent musiciens et que deux ou même un seul musicien joue faux, on n'entendra que ce dernier.

    C'est la même chose pour notre corps; notre santé dépend de nombreux paramètres pour que tout soit en harmonie. Le corps est une globalité où un déséquilibre ne peut exister seul, chaque forme de déséquilibre (plénitude ou vide) ayant toujours sa contrepartie.

    Pour que l'organisme fonctionne bien et soit en bonne santé, il faut que les cellules travaillent en harmonie, avec désintéressement et non uniquement pour elles-mêmes; l'estomac ne doit pas digérer que pour lui-même; l'intestin doit assimiler pour nourrir le corps entier, le coeur ne doit pas battre que pour lui-même, mais pour l'ensemble et pour le bien de tout le corps, afin que toutes les cellules du corps vivent en parfaite harmonie.

    Si notre système immunitaire est en parfait état sur le plan biologique, que l'énergie fonctionne en harmonie et que nous dominons le stress par des exercices de respiration et de méditation, notre organisme est capable de nous protéger de nombreuses maladies.

     

    Coeur

     

    Les Ondes Sonores

     

    La musique, et notamment la musique classique, donne des effets en général sur l'organisation de la matière et les ondes sonores en particulier sur l'orientation des molécules, des atomes, des électrons au point de vue physique et physiologique. Un livre remarquable, "Les Messages de l'Eau" de Masara Emoto, nous prouve que la matière et notamment l'eau enregistre les vibrations des sons. 

    Les effets généraux et particuliers sont journellement constatés par chacun de nous en écoutant tel ou tel morceau de musique qui peuvent dissiper une grande fatigue, développer l'énergie, rétablir l'harmonie du corps et élever l'âme...

    On admet également que les sons affectent la matière physique, mentale et astrale de l'être humain. Les effets bénéfiques de la musique ont été mesurés par des tests. En fait, la musique émet des ondes et les récents travaux en psychologie admettent que l'être humain émet lui aussi des ondes d'intensité différente suivant son état. On enregistre les ondes cérébrales, reflets de l'activité électrique du cerveau, au moyen d'un appareil: l'électroencéphalographe.

    Le tracé est formé d'ondes de fréquences (Gamma, Bêta, Alpha et Thêta) et d'amplitudes variables selon l'activité du cerveau. Cela veut dire que les sons que l'on entend se mettent en osmose avec notre être, et qu'ils vont nous mettre soit en condition maximale d'harmonie, et nous pourrons alors nous épanouir, soit provoquer une disharmonie profonde si ces sons représentent une cacophonie (je vous laisse imaginer le style de musique...). 

    On voit l'importance certaine que la future mère doit "accorder" à ce qu'elle va écouter. Il est impératif qu'elle fuie tout ce qui dans la musique représente le chaos. Il est admis que le bébé commence à percevoir les sons dans le ventre de sa mère. Très tôt on va pouvoir développer et équilibrer dans l'harmonie les deux hémisphères du cerveau. Celui de gauche est celui du langage, le droit celui de l'émotion et des harmoniques...

    Dans notre corps, chaque atome, chaque molécule possède sa propre valeur sonore, que nous ne pouvons percevoir physiquement. Chaque organe aussi possède sa propre qualité sonore. Lorsque quelque chose ne va pas, les sons sont discordants. Ces dissonances ont pris naissance dans nos propres pensées et se sont communiquées à la partie malade.

    Notre corps a une conscience corporelle toute d'énergie et de vitalité. Cette conscience corrige automatiquement tout déséquilibre, mais nos croyances conscientes affectent cette conscience corporelle. On ne doit pas renforcer ces sons intérieurs en répétant les mêmes suggestions négatives, car les suggestions verbales sont traduites en sons intérieurs... Nos cellules croient ce que nous disons à leur sujet.

    Changez votre croyance concernant votre santé. Utilisez des images mentales, ayez des visions claires, en harmonie avec votre son intérieur. Vous parviendrez ainsi à une réalisation physique dans laquelle votre imagination servira de force motivante et propulsive!

  • Nutrition, Intoxication et Détoxication

    « Nutrition, Intoxication et Détoxicaton »

    Détoxication digestive - Détoxication hépatique - Métaux lourds : une menace perverse

    Le constat est sans appel : notre organisme est sans répit agressé par de multiples molécules toxiques venant de l'environnement mais également produits secondaires de notre métabolisme. Conservateurs, colorants alimentaires et exhausteurs de goût, polluants, antibiotiques alimentaires, pesticides, gaz de combustion mais aussi toxines d'origines organiques (xénobiotiques) et autres hormones lipophiles,… représentent une liste effrayante d'agresseurs moléculaires qui sont de nature, non seulement à restreindre nos réserves fonctionnelles, mais également à compromettre le fonctionnement normal de nos cellules.

    Pour survivre, les cellules ont développé des parades biochimiques permettant d'inactiver et puis d'éliminer ces molécules toxiques: la détoxication. Ce processus comprend l'ensemble des réactions biochimiques qui éliminent de notre organisme tout composé potentiellement dangereux.

    Si toutes les cellules de l'organisme sont, dans une certaine mesure, capables de détoxiquer, ce sont les cellules des tissus les plus exposées qui ont surtout développé cette activité à un niveau « professionnel » : ce sont les cellules de la peau, des voies respiratoires, de l'intestin et surtout du foie. En effet, le foie est le filtre qui reçoit l'ensemble des molécules absorbées par l'intestin. Ceci représente la charge la plus importante de molécules venant de l'extérieur qui entrent dans l'intégrité territoriale de notre organisme. La concentration en molécules toxiques dépend de l'alimentation, de l'état de la flore intestinale et surtout de l'état fonctionnel de la barrière de la muqueuse intestinale.

    D'autre part, le  foie  est  souvent  considéré  comme  le  filtre  qui  reçoit l’ensemble  des molécules  absorbées  par  l’intestin mais,  bien plus qu’un filtre,  il est également  le  centre de  la détoxication de  l’organisme  et  joue  un  rôle  clé  dans  les  processus  de neutralisation et d’élimination des toxines.  Le  rein  est  le  siège  principal  de  l’élimination  finale,  dans
    les  urines,  des  toxines  neutralisées  lors  de  la  détoxication hépatique. 

    Pour que la détoxication hépatique se déroule efficacement et sans danger pour l'organisme, il est indispensable que les hépatocytes aient à leur disposition toutes les molécules et oligoéléments nécessaires aux réactions biochimiques impliquées dans ce processus. Parmi ces dernières, certaines doivent nécessairement être fournies par l'alimentation car elles sont soit totalement soit conditionnellement essentielles.

    Voici quelques exemples d'aliments qui détoxifient:

    Ce que vous mangez est crucial pour conserver une bonne santé. Vous pouvez favoriser cela en réduisant l'alcool, la caféine, la nicotine, les mauvaises graisses, les graisses saturées, le sucre. Choisissez des aliments (de préférence Bio!) qui amplifient ce processus.

    • La pomme contient des antioxydants comme la quercétine, la vitamine C et la pectine qui aident à excréter les métaux lourds.
    • L'avocat contient du glutathion, un antioxydant qui combat les radicaux libres.
    • La betterave contient de la méthionine, laquelle purifie les déchets naturels du corps.
    • Les légumes crucifères (choux, brocolis...) neutralisent les toxines et contiennent des glucosinolates qui amplifient la production d'enzymes.
    • Le kiwi contient de la vitamine C, un antioxydant.
    • La prune est antioxydante et laxative.
    • Les algues contiennent de l'alginate qui lie les métaux lourds pour les préparer à l'excrétion hors du corps.


    Au cours d'un rendez-vous en Naturopathie, nous rapellerons la nature et l'origine des toxines exogènes et endogènes les plus dangereuses pour notre organisme. Nous envisagerons les mécanismes impliqués dans l'élimination sûre de ces molécules toxiques en insistant sur les nutriments particulièrement impliqués dans ces réactions.

    Enfin, une large part sera réservée aux conseils nutritionnels et micronutritionnels pour la prise en charge efficace des patients envisageant une cure de détoxication. 

    Des soins en Réflexologie Plantaire seront aussi largement recommandés puisqu'il s'agit d'une partie importante du traitement .

     

    (Voir à ce sujet dans la rubrique Boutique, le Pack Spécial "Jade").

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  • La Qualité des Aliments

    Le véritable problème principal concernant la consommation de n'importe quel type d'aliment, notamment les produits animaux, est le niveau de produits chimiques dont ils sont porteurs. Ces produits chimiques sont issus de l'agriculture et de l'industrie. Tous ces polluants environnementaux finissent en fin de course dans les tissus des animaux que nous consommons même s'ils sont appliqués aux cultures vivrières. Ces produits chimiques ne quittent pas l'organisme humain, pas plus que le corps des animaux.

    Depuis 1945, l'usage général de pesticides a augmenté de 3300% et l'ensemble des récoltes touchées par les insectes a aussi augmenté de 20% (voir Manuel de gestion des insectes nuisibles en agriculture ed: Boca Raton). Malheureusement, la viande, la volaille et les produits laitiers contiennent une source majeure de pesticides résiduels dans l'alimentation occidentale. En plus, 95% de l'exposition des humains à la dioxine vient de la consommation de la viande, des volailles et des produits laitiers. La dioxine est connue pour être un produit cancérigène puissant qui est aussi utilisé pour blanchir le papier toilette, les tampons hygiéniques et les protège-slips. Il est important de savoir que les pestsicides résiduels et les produits chimiques issus de l'industrie restent dans l'environnement au minimum pendant plusieurs générations.

    Atreya Smith, médecin en médecine Ayurvédique, pense que les raisons qui motivent la poursuite d'un régime à base de viande - pour des raisons de santé pure - sont infondées étant donné les informations disponibles actuellement. Il semble qu'en fait, sur le plan de la santé, il n'y ait aucune bonne raison d'avoir un régime alimentaire à base de produits animaux. C'est une autre chose si vous souhaitez manger de la viande, de la volaille, des produits de la mer ou des laitages parce que vous les aimez. D'après lui, vous devriez être conscients du fait que l'organisme n'a aucune nécessité de ces aliments sur le plan des besoins nutritionnels.

    Tous les éléments, des acides aminés jusqu'à la vitamine B12, sont présents dans les régimes à base de végétaux qui utilisent les aliments complets. Bien entendu, si vous éliminez juste la viande de votre régime et que vous vivez de petits gâteaux, de sauces industrielles (ketchup) et de plateaux télé tout prêts, vous finirez par avoir des problèmes de malnutrition. Mais dans ce cas, il s'agit d'un choix nutritionnel carencé et non pas d'un régime alimentaire à base de végétaux.

    Les insecticides et les fertilisants à base de pétrole se retrouvent tout au long de la chaîne alimentaire. Développons quelques-uns des effets sanitaires de ces produits chimiques. Il n'y a probablement pas de sujet plus proche de l'être humain que celui des relations sexuelles intimes et de la possibilité de procréer. La joie d'avoir des enfants est sans pareil et représente l'accomplissement de l'être humain. Notre capacité à avoir des enfants se réduit de jour en jour à cause de notre consommation continuelle de produits chimiques issus du pétrole. Ces effets peuvent ne pas se limiter seulement à la fertilité - des hommes comme des femmes - mais, peut-être, même à notre capacité sexuelle. Malheureusement, cela semble être la situation dans le monde d'aujourd'hui. Il y a de plus en plus d'informations publiées en la matière et pourtant le grand public n'est pas au courant que si cette tendance continue à se développer, avoir des enfants deviendra une rareté - et non pas un droit naturel... On peut consulter un très bon livre sur ce sujet, "L'Homme en voie de disparition" par le Dr Theo Colburn. Cet ouvrage présente une prise de position très captivante sur la diminution de la production de sperme et d'autres effets hormonaux issus des facteurs environnementaux.

    Malheureusement, les études récentes montrent que ces effets se manifestent souvent chez les enfants ou petits-enfants d'adultes contaminés. Les méfaits sur les fluides reproducteurs pourraient ne pas se limiter à la stérilité. Des études actuelles montrent que les déformations congénitales dans la progéniture de seconde et troisième génération sont courantes. Le problème est réel et ne disparaîtra pas. Presque tous nos produits chimiques synthétiques sont aujourd'hui à base de produits pétroliers et sont appelés produits pétrochimiques. Ces produits sont utilisés dans la fabrication de médicaments, de produits agrochimiques, d'aliments en conserve, de nettoyants domestiques, de plastiques, de produits d'hygiène à usage personnel et même de crème contraceptive. Il peut sembler difficile à croire que le film plastique que vous utilisez pour couvrir vos aliments puisse ajouter quelques particules minuscules de molécules de pétrole nuisibles à votre alimentation, mais c'est probablement le cas.

    Un grand nombre de ces produits produisent une action similaire à celle des hormones sur le corps et sont appelés "xénobiotiques". Les produits chimiques ayant une action spécifique similaire à celle des oestrogènes sur le corps se nomment quant à eux, "xénostrogènes". Ce concept est bien compris par l'industrie biochimique et utilisé pour fabriquer un grand nombre de produits hormonaux pour femme, y compris la pilule contraceptive et le THS (Traitement Hormonal de Substitution) pour traiter la ménopause. La plupart des produits pétrochimiques ont tendance à avoir un effet "oestrogénique" sur l'organisme incitant le métabolisme à réagir comme s'il s'agissait d'oestrogènes. Des petites quantités de produits chimiques aux effets hormonaux - ingérées au mauvais moment - peuvent créer des malformations du foetus chez la femme enceinte et causer un retard physique ou mental dans le développement de l'enfant.

    Cela prouve donc que l'argument consistant à expliquer que ces produits chimiques sont en trop petites quantités pour être nocifs aux gens, est faux.

    Quels sont exactement les effets d'une trop grande quantité d'oestrogènes dans l'organisme? La lecture de n'importe quelle brochure ou étude sur les produits oestrogéniques (comme le TOS ou Traitement Oestrogénique de Substitution) établit la liste des risques suivants:

    - Cancer de l'utérus, cancer du sein, maladie de la vésicule biliaire, coagulation anormale du sang

    Et celle des effets secondaires:

    - Nausées et vomissement, fragilité ou hypertrophie mammaire, extension de tumeurs bénignes, extension de fibromes de l'utérus, rétention de fluides en excès (prise de poids), apparition de taches brunes sur la peau, notamment sur le visage.

    L'effet physiologique d el'oestrogène est de favoriser la croissance. Cela signifie la croissance des tumeurs, des muscles, de la graisse et des cellules cancéreuses. Pour les femmes, cela signifie notamment la croissance des fibromes utérins. Pour les hommes, cela peut concerner l'hypertrophie de la prostate.

    Le nombre de poissons qui présentent désormais d'importantes grosseurs et tumeurs est si important que les usines de traitement de poissons les considèrent comme "normales". Des chercheurs ont trouvé que le niveau d'oestrogènes présent dans le système de purification de l'eau de ville était démesuré. Ils sont parvenus à établir la traçabilité de cette catégorie d'oestrogène avec celle utilisée dans les pilules contraceptives.

    Dans notre culture, l'importance de la dépendance à ces produits chimiques est devenue atterrante. La plupart de ces produits rendent la vie "moderne" au regard des gens. L'agriculture continue à les utiliser en dépit du fait que les statistiques montrent que plus on utilise des pesticides, plus les récoltes sont endommagées par les insectes!

    Heureusement, il y a plusieurs choses à notre portée pour protéger notre santé individuelle et celle de notre famille. (Voir Article Qualité des Aliments 2)