Les Allergies Respiratoires

  • Rhodiola Résistance à toute épreuve

    Rhodiola

    Surmenage  Fatigue  Dépression  Insomnie  Stress chronique

    Burnout  Libido  Déséquilibre  Epuisement

     

    Rhodiola rosea phytotherapie homeophyto 1

     

    Considérée comme étant une des plantes adaptogènes les plus actives, Rhodiola rosea aide l'organisme à mieux tolérer toute forme de stress. 

    Les glucosides issus de sa racine, responsables de ces propriétés sont la Rosavine et les Salidrosides. Ils assurent d'une part, une bonne gestion de la sérotonine, un neurotransmetteur qui joue un rôle essentiel dans le bon équilibre du système nerveux central et, d'autre part, ils favorisent la baisse de la production de cortisol surnommé "l'hormone du stress" qui, libérée de façon continue et excessive, peut entraîner divers troubles métaboliques et organiques plus ou moins graves. 

    La Rhodiola stimule également le métabolisme énergétique cellulaire, favorisant la production d'ATP pour une optimisation du rendement énergétique. 

    La Rhodiola est une plante très résistante qui pousse jusqu'à 4000 m d'altitude. On la trouve dans les régions froides du monde comme l'Arctique, dans les hautes montagnes de l'Europe ou en Asie centrale et Amérique du Nord. La partie souterraine, utilisée en thérapeutique, forme un rhizome avec des racines qui peut, en fonction de l'âge, atteindre une masse de plusieurs kilogrammes.

     

    Rhodiola rosea

     

    Principales propriétés pharmacologiques : 

     

    1. Activités sur le système nerveux central  

    Amélioration des capacités intellectuelles, performances mentales, augmentation significative des fonctions cognitives.

    Activité anti-oxydante dans les modèles de pathologies neurodégénératives.

    Activité antidépressive et neuroprotectrice : la Rhodiola empêche la dégradation des neurotransmetteurs (sérotonine, noradrénaline), diminution du comportement dépressif, augmentation de la prolifération cellulaire dans l'hippocampe, augmentation de la quantité de neurones, amélioration de l'insomnie.

    Activité anxiolytique.

     

    2. Amélioration des performances physiques

    Adaptation à l'effort : augmentation de l'endurance.

    Diminution de la fatigue : diminution significative après 28 jours, de la production de cortisol salivaire (mesure du stress) et une amélioration de l'endurance et de la concentration.

     

    3.Inhibition des comportements addictifs

    La prise de Rhodiola, 1 heure avant un repas appétant, réduit, voire abolit le comportement d'hyperphagie.

     

    4.Action endocrinienne

    La Rhodiola a pour effet de faire réapparaître des menstruations normales chez les femmes souffrant d'aménorrhée. Agit sur la fertilité.

     

    5.Action cardioprotectrice

    Effet préventif  sur les arythmies.


    6.Action hépatique

    La Rhodiola produit un effet hépato-protecteur.

     

    Après quelques questions et tests physiques, notamment au niveau de la voûte plantaire (tests de certains points en réflexologie plantaire) lors de votre rendez-vous, je peux vous conseiller de l'extrait de Rhodiola sous deux formes: 

    - les gélules avec une posologie de 1 gélule par jour (ou davantage selon les cas) à prendre de préférence le repas.

    - les ampoules ayant une posologie de 1 ampoule 2 fois par jour à prendre pure ou diluée dans un verre d'eau.

    Si besoin, certains oligo-éléments sont également appropriés en association avec la Rhodiola.

     

    Rhodiola 600 x 480

     

     

     

     

  • Correction de l'acidose tissulaire

    La correction de

    l'acidose tissulaire

     

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    Les travaux de Sander ont permis de définir les valeurs d'un équilibre acido-basique propre à l'organisme humain par la détermination d'un quotient d'acidité. Ce taux d'acidité idéal correspond à un pH urinaire compris entre 7 et 7.5.

     

    L'homme sain

    Un organisme dit "en bonne santé" possède une bonne activité d'épuration, c'est-à-dire que les organes d'élimination, appelés émonctoires (les reins, les poumons, le foie surtout, mais aussi la peau et les intestins), sont capables d'exclure correctement toutes les surcharges métaboliques. Leur capacité de détoxication est remarquable si on évite de les surcharger en permanence : ils rejettent sans peine les substances dont l'organisme n'a pas besoin et, en particulier, les déchets acides provenant du métabolisme cellulaire et de l'alimentation. Dans son fonctionnement normal, le corps se présente comme un véritable générateur d'acides et ses mécanismes physiologiques sont naturellement orientés vers un nettoyage constant de cet excès d'acidité. 

    Notre alimentation actuelle - privilégiant les protéines carnées et carencée en légumes et en crudités - favorise l'acidose tissulaire. Notre mode de vie, la plupart du temps sédentaire, contribue également à dérégler cet équilibre. De plus en plus, nous tendons vers l'acidification de nos tissus.

    Ainsi, les émonctoires, sollicités de manière constante pour détoxiquer l'organisme, fournissent un surcroît de travail et, peu à peu, se fatiguent. Leur efficacité diminue alors. Le mésenchyme (tissu de soutien conjonctif de l'embryon à partir duquel se forment les vaisseaux sanguins et lymphatiques, les muscles, les cartilages et le squelette. Chez l'adulte, ce tissu devient le plus grand système de régulation acido-basique de l'organisme) se charge de plus en plus en éléments acides, stockant les excès qui ne peuvent plus être éliminés normalement. 

    Si beaucoup de personnes sont capables de compenser ce déséquilibre et de ne pas tomber malade, on constate qu'un nombre croissant d'individus présente de nombreux troubles de santé liés à l'excès d'acidité tissulaire. 

     

    L'homme malade

    Une évolution vers une trop grande acidité tissulaire engendre des troubles de santé en nous éloignant d'un équilibre acido-basique idéal. Il est actuellement possible de démontrer que chaque maladie et, surtout, les pathologies chroniques s'accompagnent d'un déplacement de l'équilibre acido-basique tissulaire dans le sens de valeurs acides. Les variations physiologiques entre les éliminations acides et alcalines de l'urine tendent surtout en faveur de la première. 

    Cette tendance à l'acidose tissulaire est majorée:

    • au cours de toute maladie, surtout chronique, du fait de l'anoxie tissulaire qu'elle entraîne;
    • lors de stress qui accroît la sympathicotonie, source de tensions musculaires produisant de l'acide lactique;
    • dans les infections;
    • lors de la prise de médicaments, comme les dérivés de l'aspirine (l'acide salicylique est un acide carboxylique fort), la morphine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens.

     

    Les moyens de correction

    Il est possible de corriger l'acidose tissulaire par plusieurs moyens : le plus important étant bien sûr l'alimentation, mais celle-ci peut être avantageusement complétée par des tisanes, des cures fruits et/ou légumes, l'oxygénation et par la prise de sels alcalinisants.

    Lors d'un rendez-vous, je vous laisse différentes fiches afin de mettre en pratique dans l'assiette: des conseils généraux pour une alimentation saine, des recettes de cures fruits-légumes, des sels alcalinisants et/ou des tisanes à prendre éventuellement. 

     

    Je suis à votre service pour vous aider à rééquilibrer votre terrain! 

     

     

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  • L'Hyperperméabilité Intestinale

    L'Hyperperméabilité Intestinale

    ou

    "Leaky Gut Syndrome"

     

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    Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI), intolérances alimentaires, allergies, fatigue chronique, problèmes de peau, douleurs articulaires, candidose chronique, maladies métaboliques et auto-immunes sont autant de troubles attachés à la paroi intestinale et sa perméabilité. 

    Cette interface digestive représente une surface d'environ 200 m2 et est l'hôte de milliards de bactéries qui sont en relation avec le plus important système immunitaire de notre organisme. Des structures complexes fonctionnelles et anatomiques gèrent son équilibre et les échanges entre la lumière intestinale et notre organisme. 

    Les transports d'eau et de nutriments se font à travers la paroi de l'intestin grêle composée d'une fine couche unicellulaire que forment les "entérocytes". Les "colonocytes", qui tapissent le colon, se chargent principalement d'absorber l'eau. Ces cellules baignent dans un mucus protecteur et sont étroitement liées entre-elles par "les jonctions serrées". Celles-ci jouent un rôle essentiel dans le contrôle du passage des nutriments dans le sang. Ainsi, elles permettent le transit de l'eau, des minéraux et des petites molécules issues de la digestion depuis la lumière intestinale vers les systèmes sanguin et lymphatique alors qu'elles empêchent le passage d'aliments non digérés, des toxines ou des agents pathogènes. 

    Cette perméabilité sélective confère à la barrière intestinale un double rôle extrêmemnt complexe et en relation avec la plupart des fonctions essentielles de l'organisme. 

    Il est aisé de comprendre qu'une perturbation au niveau de cette barrière intestinale engendre des conséquences qui s'étendent bien au-delà des problèmes digestifs...

     

    Des perturbateurs potentiels quotidiens : 

    Comme les médicaments, les infections, notre mode de vie stressant, l'inadéquation de nos habitudes alimentaires et l'augmentation de la consommation d'additifs utilisés par l'industrie alimentaire peuvent engendrer un phénomène inflammatoire et altérer la couche protectrice de mucus, puis endommager les cellules intestinales et leurs jonctions serrées. L'intestin se comporte alors comme une passoire, laissant passer des molécules indésirables dans le sang ou la lymphe. Ces molécules, considérées comme des antigènes, vont perturber l'homéostasie du système immunitaire et entraîner une cascade de symptômes pouvant aller jusqu'à la manifestation de maladies auto-immunes. 

     

    Je peux vous aider à maintenir ou à restaurer la fonction de la paroi intestinale

    en agissant à tous les niveaux qui peuvent influencer son équilibre.

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     Formule complète, cohérente, inspirée des dernières études scientifiques :

    - Régénère la muqueuse

    - Favorise la croissance des tissus

    - Luttre contre l'inflammation

    - Booste l'immunité intestinale

    - Facilite le transit en douceur

    - Aide à la cicatrisation

    - Nourrit les entérocytes et les colonocytes

     

     

    Les Conseils Associés : 

    ► Privilégiez un régime hypotoxique, biologique et vivant. Une cure de Charbon végétal est un bon réflexe pour détoxifier le système digestif avant l'utilisation de compléments micronutritionnels.

    ► Mangez dans le calme et bien macher la nourriture! 

    ► Entretenez la flore intestinale par la consommation de fibres prébiotiques ou d'aliments lacto-fermentés comme la choucroute.

    Évitez la consommation de nourriture industrielle, d'alcool, de café, de piments, de graisses saturées et de sucres raffinés.

    ► Les laitages et les aliments contenant du gluten ne sont pas recommandés. 

    ► Prendre l'air et pratiquer une activité sportive contribue au bien être physique et mental favorable à une bonne digestion et à la santé intestinale. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Guarana les yeux de l'Amazonie!

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    Guarana

    L'anti-fatigue des Indiens d'Amazonie

     

    Originaire du bassin de l'Amazonie, le guarana (Paulinia cupana) est une liane dont les Indiens guaranis récoltent les graines, les torréfient et les pilent avant de les utiliser pour préparer des boissons tonifiantes.

     

    Telechargement

     

     

    Sorte de petit oeil ou de petit marron, la graine de guarana est enfermée dans une capsule rouge. Après l'avoir récoltée, on sépare l'amande de la graine en la torréfiant légèrement et c'est de cette amande que l'on tire d'étonnants principes actifs. 

     

    Sa richesse en caféine

    L'intérêt majeur du guarana vient de sa teneur très élevée en caféine. C'est d'ailleurs ce qui explique son utilisation en tant qu'anti-fatigue par les Indiens d'Amazonie. Mais la caféine présente également d'autres intérêts. Elle stimule le métabolisme des cellules et active ainsi la combustion des graisses. Elle provoque aussi une libération importante de certaines substances comme l'adrénaline qui permet une utilisation plus rapide des graisses par l'organisme. La caféine associée aux autres composants du guarana en font un végétal très intéressant dans le cadre d'un régime amincissant. Et bien entendu, il ne faut pas oublier les effets stimulants du guarana. En augmentant le métabolisme de base de l'organisme, il permet de lutter efficacement contre la fatigue, un problème qui touche particulièrement les personnes qui se mettent au régime...

     

    Des études probantes

    Même si c'est d'abord empiriquement que le guarana a été utilisé, de nombreuses études scientifiques sont venues en confirmer les effets. Des essais cliniques datant de 2005 et 2006 ont montré que la plante améliorait l'attention et permettait de combattre la somnolence. D'autres études ont, par ailleurs, étudié les effets du guarana sur les capacités de concentration et d'apprentissage et confirmé qu'il pouvait améliorer les performances cognitives. En stimulant le système nerveux central, la caféine du guarana combat la fatigue. Côté minceur, une étude épidémiologique menée en Amazonie chez les personnes âgées de plus de 60 ans et publiée en 2011 montre que celles qui consomment du guarana ont un tour de taille inférieur à celles qui n'en prennent pas, et elles ont, par ailleurs, moins d'hypertension. Pourtant, la caféine augmente la pression artérielle et peut causer des palpitations, l'action du guarana doit donc être préventive en ce domaine. Attention aussi à ne pas trop prendre de guarana le soir, pour bien dormir! 

     

    Comment le prendre? 

    On trouve chez nous, le guarana sous forme de poudre, ou dans des compléments alimentaires, sous forme de gélules. 

    Veuillez me contacter pour de plus amples renseignements. 

     

  • L'aliment est énergie

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    (Photographie Kirlian)

     

    En ingérant différents aliments, vous absorbez leur énergie, laquelle à son tour interagit avec votre énergie interne et la modifie. La nouvelle énergie qui dérive de ce processus peut vous faire sentir tout autre du point de vue émotionnel, vous faire penser différemment ou contribuer à renforcer votre esprit. Bien entendu, l'énergie libérée par les aliments vivants est meilleure que celle des aliments raffinés et altérés. Plus vous mangerez des aliments avec ce type d'énergie, plus leur influence sera profonde et durable. 

     

    Qu'est-ce qu'un aliment vivant?

    C'est un aliment encore en phase de croissance. Par exemple, placés dans un tissu humide et gardés quelque temps à l'abri de la lumière, des céréales complètes, des légumes secs ou des graines vont germer; si vous plantez un fruit, il va donner une nouvelle plante; replantées, les racines comestibles repoussent; il suffit de plonger les tiges de légumes à feuilles vertes dans de l'eau pour que ceux-ci continuent à vivre; les aliments fermentés ont un microprocessus où les enzymes vivantes fleurissent. 

    L'énergie de chaque aliment est constituée de la somme de tout ce qui a contribué à sa croissance. La photographie Kirlian est un procédé qui permet de visualiser effectivement cette énergie chez les plantes vivantes. Les aliments qui ne sont plus "vivants", comme le poisson, la viande et les produits fromagers, possèdent encore de l'énergie vivante (bien qu'en moindre mesure par rapport à ceux encore vivants au moment de la cuisson), mais c'est une énergie qui tend à faiblir avec le temps. Les aliments transformés sont eux aussi dotés d'une charge énergétique, toutefois on voit combien elle est modifiée si on la compare à celle des aliments vivants. 

     

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    Changer son énergie

    Le corps humain met dix jours à renouveler ses globules blancs. Ingérer des aliments dotés d'une énergie vitale forte pendant cette phase peut donc influer considérablement sur votre bien-être. L'organisme met environ quatre mois pour renouveler ses globules rouges. Suivre un régime curatif durant cette phase apporte des changements plus profonds. En outre, ce laps de temps devrait suffire à découvrir le ressenti de votre organisme qui a atteint un état de santé optimal. En conclusion, vous pouvez reconstruire votre organisme de A à Z, sur la base de telle ou telle énergie, en choisissant vos aliments selon le type d'énergie que vous voulez recevoir! 

     

    L'énergie d'un repas et ses différentes directions

    L'énergie que les différentes plantes alimentaires libèrent dans votre organisme varie selon leur direction de croissance. Quand vous les ingérez, vous assimilez une partie de leur énergie directionnelle, ce qui fait aller votre énergie dans la même direction. C'est le cas en particulier des légumes. Par exemple, les légumes verts, comme les poireaux, les oignons ou le chou chinois, vont diriger l'énergie de votre organisme vers le haut, vers le thorax et la tête, et en conséquence vous vous sentez plus léger. Les légumes à racine vont la diriger vers le bas, dans la partie inférieure de l'abdomen; votre énergie va en quelque sorte "s'enraciner" et vous allez vous sentir plus fort et plus sûr de vous. Une fois l'énergie ainsi déviée de votre tête, il vous est plus facile de vous détendre, d'être plus concret et pratique. Quant aux légumes à forme arrondie, ils contribuent à diffuser délicatement l'énergie dans tout votre corps, ce qui confère une sensation de satiété chaude dans la région de l'estomac. Les céréales cuites contribuent à déplacer l'énergie vers le bas, tandis que les aliments qui l'affinent sont purifiants. 

     

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    Mode de cuisson

    Outre les ingrédients, le mode de cuisson influe lui aussi sur le flux de votre énergie. La cuisson vapeur imprime à l'énergie libérée un mouvement vers le haut, frire lui imprime un mouvement vers l'extérieur, une cuisson lente à l'étouffée un mouvement vers le bas, une cuisson pression un mouvement centripète, une cuisson à l'eau bouillante imprime un mouvement de flux. Ainsi pour stabiliser votre énergie, optez pour des carottes et cuisez-les à feu lent, ou pour que votre énergie se répande mieux vers le haut, optez pour des légumes à feuilles vertes cuits à la vapeur. Si vous envisagez un régime curatif, sélectionnez les ingrédients et préparez-les de façon à envoyer une énergie saine et vivante dans telle ou telle partie de votre organisme. Pour surmonter une congestion pulmonaire, préparez des légumes printaniers cuits à la vapeur. Pour répandre l'énergie dans toutes les directions et stimuler ainsi les parties périphériques de votre corps, utilisez des oignons frits. Vous pouvez même recourir à une association d'énergies. Par exemple, pour stimuler votre activité mentale, je vous suggère de consommer une soupe de miso accompagnée d'oignons frits, de chou chinois et d'oignons blancs. Une pincée de gingembre râpé rendra cette expérience plus intense...

     

    Selon les préceptes de Georges OHSAWA

     

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  • Rhumes, infections ORL, grippe...

    Renforcez vos défenses immunitaires

     

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    Echinacée

    Pour prévenir les infections

    L'échinacée est réputée pour renforcer le système immunitaire. 

    En cure préventive, elle vous aidera à passer au travers des virus.

     

    Echinacea

     

    Magnifique plante à fleurs mauves, l'échinacée pousse naturellement en Amérique du Nord, dans les plaines semi-montagneuses, où elle fut longtemps considérée par les Indiens comme une plante sacrée. Il en existe plusieurs variétés dont l'Echinacea angustifolia et l'Echinacea purpurea, celles que l'on utilise le plus couramment en phytothérapie. C'est une plante robuste, qui ne craint ni la sécheresse ni le gel. Aujourd'hui, elle est cultivée à grande échelle aux Etats-Unis, mais aussi en Nouvelle-Zélande, au Canada et en Europe.

    Des Indiens aux Eclectiques

    Chez les Indiens d'Amérique, l'échinacée servait à soigner de nombreuses maladies. En usage externe, on l'employait pour soulager les piqûres d'insectes ou les morsures de serpent, pour apaiser les brûlures, guérir les furoncles ou encore pour nettoyer les plaies. En interne, c'était le remède de nombreuses affections : angines, maux de tête, oreillons, rougeole... et même la petite vérole! Ce sont  les Eclectiques, un groupe de médecins phytothérapeutes fondé au début du XIXe siècle, qui introduisirent l'échinacée dans la médecine occidentale, s'inspirant pour cela des connaissances traditionnelles indiennes. 

    Des effets immunostimulants

    L'échinacée produit des réactions en chaîne dans l'organisme, réveillant notre système immunitaire. Pour commencer, elle stimule le tissu immunitaire situé sous la langue puis, arrivant à l'estomac et à l'intestin, elle fait de même avec les plaques de Pleyer (tissus immunitaires). Résultat : ces plaques envoient un signal à tous les relais immunitaires de l'organisme. Cette réaction à l'absorption d'échinacée produit les effets suivants: 

    - Augmentation de la production de globules blancs (prêts à combattre les infections).

    - Augmentation de la production de macrophages (cellules "tueuses" de toxines et autres cellules étrangères indésirables).

    - Accélération de la croissance de tissus sains et neufs.

    - Protection des cellules saines.

    - Augmentation de la capacité de l'organisme à se débarrasser des virus et bactéries.

    - Augmentation de la production de cortisol, hormone anti-stress et anti-inflammatoire.

    Des effets protecteurs et réparateurs

    En prévention, l'échinacée permet de mettre notre système immunitaire en éveil. Résultat : les virus et bactéries sont éliminés avant d'avoir le temps de proliférer. Mais l'échinacée peut aussi jouer un grand rôle lorsque la maladie est apparue. Ainsi, on peut l'utiliser en cas de :

    - Rhume et grippe

    - Toux chronique et asthme

    - Angine et amygdalite

    - Mycoses

    - Infections urinaires. 

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    Les preuves de son efficacité

    Des expériences effectuées en laboratoire en 1985 ont montré que des globules blancs stimulés par l'échinacée avaient un pouvoir anti-infectieux augmenté de 20 à 40%, et notamment une efficacité accrue contre les candidoses. D'autres études, cliniques cette fois, ont mis en évidence une amélioration de 50 à 120% de l'efficacité immunitaire après seulement 5 jours grâce à l'échinacée. Ce qu'il faut avant tout, c'est prendre l'échinacée dès les premiers symptômes. En 2009, une étude effectuée avec un spray contenant des extraits d'échinacée et de sauge a montré qu'on obtenait sur le mal de gorge d'aussi bons résultats qu'avec les médicaments habituellement utilisés (sans les effets secondaires de ceux-ci!). Quant au rhume, un traitement préventif avec de l'échinacée en réduit la fréquence de 58%.

    Comment la prendre?

    On trouve facilement l'échinacée sous forme de compléments alimentaires ou d'extraits fluides de plantes fraîches. Pour prévenir les infections, je conseille généralement (à régler en fonction du problème et de la nature du patient) de suivre une cure de deux mois à raison de deux gélules ou un comprimé deux fois par jour (l'équivalent d'un gramme de plante par jour). En cas d'infection déclarée (quand on a un rhume ou une angine par exemple), les doses peuvent être multipliées par deux ou trois pendant une semaine. 

     

    Le naturopathe est formé pour vous conseiller les plantes et la posologie la plus adaptée !  

     

  • Le deuxième cerveau

    Le " Ventre "

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    Le "ventre" a une place très importante dans les préoccupations quotidiennes de santé. De nombreux symptômes pourtant fréquents ne sont pas pris au sérieux : ballonnements, lenteur digestive, constipation ou transit rapide, fatigue post-prandiale, inadaptabilité au stress, faiblesse des défenses immunitaires. Le manque d'informations explique sans nul doute la banalisation de la plainte du "mal au ventre". 

    L'intestin est la porte d'entrée des nutriments et des substances toxiques dans notre organisme et la frontière entre notre monde extérieur et notre monde interne. C'est le garant de notre système immunitaire en relation étroite avec le microbiote intestinal mais aussi avec un deuxième cerveau tourmenté par nos émotions. Son équilibre interfère avec l'ensemble de nos fonctions de manière directe ou indirecte : toute perturbation génère des désordres qui vont du simple déséquilibre aux pathologies chroniques ou même auto immunes. C'est le miroir des conditions de vie de l'homme : alimentation moderne, stress chronique, pollutions chimiques, électromagnétismes, psychiques.

    Les troubles sont d'abord fonctionnels et évoluent lentement vers le stade lésionnel voire dégénératif : épuisement digestif, détoxication hépatique dépassée, épuisement de la fonction exocrine et endocrine du pancréas, déséquilibre de la régulation acido basique du tube digestif, retentissement dans les zones environnantes : lombo sacrée, sphère génito urinaire, dysfonctionnement de l'émonctoire poumon et des voies ORL (catarrhes, sinusites, angines etc...), manifestations cutanées à titre de dermatoses, acidose tissulaire et par voie de conséquence : déminéralisation, fatigabilité accompagnée d'état dépressif etc...

    L'expression du temps des rois "Comment allez-vous?" c'est-à-dire "Comment allez-vous à la selle?" prend ici toute son importance. 

    Le tractus digestif permet la transformation des aliments ingérés via des séries de dégradations dépendant étroitement des enzymes digestives, de la motricité du tube digestif mais aussi de la présence d'une population microbienne indispensable appelée aujourd'hui microbiote avec laquelle nous vivons "en symbiose". Nous sommes aussi ce que sont nos bactéries! 

    Cette flore intestinale est en étroite relation avec le système immunitaire, de sorte que sans les bactéries intestinales, nous serions colonisés par n'importe quelle bactérie pathogène, la dégradation alimentaire serait perturbée, le métabolisme du cholestérol altéré, les aliments cancérigènes non dégradés en produits inoffensifs, la synthèse des vitamines B et K différentes, la maturation des lymphocytes B et T présents au  niveau de la muqueuse intestinale ralentie (importance du GALT : le tissu lymphoïde associé au tube digestif) etc...

    Pour assurer la défense de l'organisme, la muqueuse intestinale dispose du microbiote mais aussi de l'effet barrière généré normalement par l'épithélium du grêle : les cellules épithéliales disposent d'un carburant spécifique : la L glutamine apportée par l'alimentation mais dont la concentration au niveau intestinal diminue lors de stress chronique. Les entérocytes, cellules les plus nombreuses disposent pour assurer leur cohésion de jonctions très serrées : les tight jonctions. Grâce à ce système, les nutriments de la lumière intestinale ou d'autres déchets alimentaires partiellement dégradés passent à travers les entérocytes et non entre les entérocytes.

    A la suite de microlésions ou d'inflammations successives, ces jonctions se desserrent, la muqueuse devient poreuse et laisse passer des molécules indésirables : ces dernières se retrouvent dans le sang et entraînent des réactions inflammatoires et immunitaires. La muqueuse ne joue plus son rôle de barrière : c'est l'hyperperméabilité du grêle.

     

    L'intestin, siège des défenses naturelles est donc un écosystème extrêmement complexe auquel il s'agit d'être particulièrement attentif!

    Pour entretenir et restaurer ce système, la naturopathie propose des solutions : 


    - Réduire ou éradiquer les surcharges alimentaires, source de toxémie

    - Privilégier une alimentation la plus naturelle possible et adaptée à l'individu

    - Faire pratiquer des exercices physiques et respiratoires

    - Suggérer des techniques de gestion de stress en se souvenant que l'intestin contient plus de 100 millions de neurones

    - Corriger les désordres énergétiques par la réflexologie plantaire

    - Apporter des solutions phytothérapiques et micronutritionnelles innovantes


     

     

     

     

                   

  • Mâcher = Maigrir

     

     

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    ... Et gagner en vitalité ...

    A l'époque, on mangeait assis à table, des aliments frais et sains et on prenait le temps de bien mâcher. Aujourd'hui, nous mordons rapidement dans un sandwich devant l'ordinateur, ou bien nous avalons un plat rapide devant la télévision. On mâche peu ou pas du tout. Sans compter que les aliments qui n'ont pas besoin d'être mastiqués, comme les préparations et les purées de légumes, sont de plus en plus répandus sur le marché, avec le résultat que nous mâchons de moins en moins. En fait, la mastication constitue l'une des premières mesures à adopter afin de changer les habitudes alimentaires, perdre du poids et restituer vigueur et énergie nouvelle au corps. Bien mâcher permet au cerveau de transmettre la sensation de satiété et au système digestif de faire son travail dans les meilleurs conditions. Notre organisme se régénère en continu et chaque jour. Nous devons l'aider à effectuer cette tâche au mieux : voilà pourquoi mâcher efficacement change tout! 

     

    ... Aide à manger moins ...

    A partir de 15 à 20 minutes, la mastication déclenche la production d'histamine, un neurotransmetteur libéré par l'hypothalamus qui avertit le cerveau que la quantité de nourriture prise suffit et que l'on peut arrêter de manger. Plus on mâche les aliments, plus on se sent rassasiés et on mange une quantité inférieure de nourriture. Des expériences en laboratoire ont confirmé cette théorie et d'autres études réalisées au Japon sur des jeunes femmes qui suivaient une alimentation composée d'aliments plus durs et denses (et qui nécessitaient une mastication plus longue), affichaient une taille en moins par rapport à celles qui suivaient un régime à base d'aliments mous. Alors, restons un peu plus longtemps à table et, au bout de quelques mois seulement, sans frustration, une perte de poids sera visible.

     

    ... Opère une digestion ...

    Quand nous mâchons un aliment, nous le mélangeons à la salive, obtenant ainsi un cocktail d'eau, de protéines, d'électrolytes et de sels minéraux. En se mélangeant aux aliments, la salive forme le bol alimentaire et permet au tout de descendre facilement dans l'estomac. Mieux encore, dans la bouche, ces enzymes brisent les macronutriments en éléments plus petits, les rendant ainsi plus facilement assimilables. Par exemple, c'est le cas de la ptyaline, très active sur les sucres lents. Parmi ses nombreuses qualités, la salive est antiseptique et c'est justement la mastication qui stimule sa production. 

     

    ... Brûle les graisses ...

    SURPRISE ! La mastication aide également à lutter contre les amas de graisse ! Comment ? Toujours grâce à l'histamine, ce neurotransmetteur stimule la combustion de la graisse, surtout au niveau abdominal.

     

    ... Evite les brûlures d'estomac ...

    Un nutriment pas assez mâché développe une surproduction d'acides gastriques et la prolifération possible de bactéries potentiellement pathogènes. Le résultat pourrait être un reflux gastro-oesophagien, l'acidité gastrique et, au long terme, le risque d'ulcère. Afin d'éviter tout ceci, une seule solution : mâcher encore et toujours. 

     

    ... Améliore l'assimilation des aliments ...

    Un aliment bien mâché et bien digéré par l'estomac est un aliment dont les composants seront facilement assimilables au niveau de l'intestin grêle, organe très important et délicat de notre organisme. Il faut le protéger et le maintenir en équilibre. Par exemple, manger trop de protéines sans mâcher suffisamment peut favoriser la production de cadavérine, putrescine et déchets toxiques dans le côlon, difficilement éliminables par l'organisme. Une mauvaise mastication des glucides (tels que le pain, les pâtes et les desserts) provoque, en revanche, la fermentation au niveau du côlon et facilite la production de graisses organiques.

     

    Et si nous posions un peu notre fourchette entre deux bouchées ! 

    Réapprenons à mâcher !